Il est réputé pour son jeu de piano Rockabilly vivifiant à souhait. Il fait son chemin sur le circuit rock’n’roll de différentes scènes d’ici et d’ailleurs. Israël Proulx présente aujourd’hui Cupidon, un album regroupant un répertoire connu adapté au son des années 50.
Originaire de Chicoutimi et maintenant basé dans la ville de Québec, le rock and roll, il en fait sa passion depuis sa jeunesse. Ces dernières années, le chanteur a surtout frayé avec la scène underground du rockabilly. Il s'est produit sur des scènes de Las Vegas et de Paris avant d’entreprendre récemment un tournant majeur dans sa vie : amorcer des études en théologie qui le mèneront à la prêtrise.
Un premier extrait
C’est avec Le frigidaire de Georges Langford et popularisée dans toute la francophonie par Tex Lecor en 1971 qu’Israël Proulx nous propose de faire un peu mieux sa connaissance et de découvrir sa fougue et son intensité. Les autres chansons proposées sur Cupidon sont le fruit de toute l’admiration qu’il voue aux grands auteurs d’ici : Darlin’ (Roch Voisine), Quand j’aime une fois j’aime pour toujours et Le Cœur est un oiseau (Richard Desjardins), Un coin du ciel (Marcel Martel), Perdu dans Montréal (Éric Charden), Un air sur mon piano et N’oublie jamais (Raymond Berthiaume), Comme un million de gens (Claude Dubois), Quand on est en amour (Patrick Norman) et enfin, Le p’tit bonheur (Félix Leclerc).
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